Destiny, c'est de la balle (perdue) !

Méga tuerie des dernières semaines, Destiny est enfin sorti. Grands fans des jeux triples A tant qu'ils restent indés, nous n'avons pas hésité à vous en parler car nous pensons que ce titre ayant coûté autant en com' qu'en développement mérite notre soutien, et qu'on lui offre un peu de notre visibilité dont il a bien besoin.

Nous avons tous suivi avec intérêt Les Anges de la Téléréalité et le célèbre "Allo" de Nabilla nous a tous charmé à la rédaction. C'est la raison pour laquelle, lorsque nous avons entendu qu'une adaptation de cette phrase était prévue en jeu vidéo, nous avons décidé de soutenir le projet.

Certains y verront un plagiat évident avec la série de jeux Halo, mais nous ne sommes pas dupes. Le seul point commun étant peut-être le côté FPS, les armures masterchiefs et le gameplay totalement repompé (ça c'est de la mauvaise fois pure et dure). En gros, c'est un jeu pan pan boom boom gardien élu de la lumière avec des quêtes et du RPG, entre un Call of et un Final Fantasy. 

Heureusement, notre journaliste indépendant qui ne joue qu'à de l'indépendant et jamais à des jeux comme Watchdogs, Fifa ou Modern Warfare 2, le bien nommé "Atonium" l'a testé pour vous. Son avis est sans appel : ça déchire. "On peut courir, tirer, y'a plein d'armes et tout", continue-t-il dans un nouvel élan de passion de l'indépendant.

Il conclura finalement :

Destiny, c'est la preuve que la 3D, c'est pas si facile à faire "comme même". Et puis y'a des explosions, faut appuyer sur des touches, toussa.

Prochains articles : la télé insulte le jeu vidéo, la radio insulte le jeu vidéo, drama à la rédac : At0 insulte les jeux flash, et le gamergate. Parce que nous aussi on sait comment faire des news à clics. #Kappa