Si vous avez eu l'occasion de jouer à un certain Downwell (que nous vous recommandons chaudement), vous ne serez pas perdus en découvrant GoNNER ; Au programme, de l'action à base d'un concept simple et suffisamment efficace pour occuper pendant des heures...
Garder la tête sur les épaules
Morbide et mignon. C'est un peu comme ça que nous pourrions résumer l'univers de GoNNER qui, d'une certaine façon, rappelle un peu le pitch de base de Dokuro de Game Arts (Grandia). On y incarne Ikk, un héros sans tête qui fait un pacte avec la Mort pour redonner le sourire à Sally, sa seule amie qui n'est autre qu'une baleine n'ayant jamais vu la mer. Manette en main, GoNNER est un jeu nerveux visuellement minimaliste pour mieux mettre en avant son dynamisme qui n'a rien à envier à Downwell de Moppin.
Une routine qui fonctionne toujours aussi bien
Depuis The Binding of Isaac, la formule des "Rogue-like" et "Rogue-light" semble tourner sans s'épuiser du côté des indés. GoNNER suit cette mouvance avec une génération des niveaux procédurale, des compétences actives & passives, des secrets avec son lot de bonus à débloquer et d'autres clés du genre pour accrocher le joueur des heures durant. Attention, les membres du studio Art in Heart ne sont pas des tendres et leur jeu est véritablement difficile. On y entre sans réel tuto, avec une difficulté qui devient rapidement présente et GoNNER reste un jeu dans lequel on meurt souvent... vous voila prévenus !
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