Décidément, après la récente sortie de Toby: The Secret Mine, voici qu'un nouveau titre à l'allure graphique et au gameplay proches débarque sur Steam. Reprenant ni plus ni moins de 80% de ce qui compose les Limbo-like, Albert and Otto espère bien creuser son trou auprès des joueurs.
Plateforme et puzzle, un combo épuisé ?
Albert and Otto : The Adventure Begins est un jeu de plateforme et de puzzle dans lequel le joueur incarnera un jeune garçon, Albert, accompagné de son lapin rouge aux étranges pouvoirs, Otto. En vue 2D latérale, le jeu mise comme beaucoup sur un aspect graphique épuré avec une superposition de dégradés de couleur pour différencier le premier plan du fond. Pour une fois, c'est d'ailleurs ce dernier qui est sombre.
Côté gameplay, on retrouvera le panel classique et basique de mouvements, à savoir sauter et pousser des objets, mais ajoutera également une visée à la souris pour tirer sur quelques rares ennemis, ou interagir avec du décor.
Quelques touches d'originalité
Otto, transporté dans le sac à dos, permettra de profiter d'un double saut. Il pourra également être déposé au sol afin de jouer le rôle d'un poids sur un mécanisme, ou pour rouler dans de petits espaces jusqu'à ce dernier Au fil de l'aventure, d'autres pouvoirs associés à la peluche se rajouteront. Quelques lucioles cachées ou dans des positions dangereuses seront à récupérer en guise d'élément de complétion.
Soyez prévenus, Albert and Otto propose une durée de vie allant de 3 à 4 heures pour une raison surprenante : c'est un jeu épisodique dont The Adventure Begins est le premier opus. Le prix y est cependant adapté, puisqu'il coûte 4,99€ sur Steam tandis qu'il est compatible avec Windows et Mac OSX. L'épisodique : la nouvelle alternative à l'accès anticipé et au financement participatif ?
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27/11/240
Comments
Ça commence à me les briser ce format de jeu épisodique, où comment vendre un jeu en "kit" sous une belle appellation. En revanche, c'est toujours beaucoup mieux que les Early Access qui durent 2 ans ou des jeux qui ne sortent même pas de cette phase.
Alors certes, il y a une rentrée d'argent substantielle pour les devs et ça permet aux joueurs de découvrir un jeu qui ne serait sans doute pas sortie de suite voir même pas du tout dans le pire des cas.
Pour moi ce format dénature complétement l’expérience que peut avoir le joueur en jouant à ce type de jeu qui ne sont pas complet, on en a pas le même ressenti et on perd une partie de la saveur de l’œuvre en question.
Le tarif est adapté au format, mais c'est comme si on allait voir un film en 4 ou 5 parties, autant attendre de tout avoir, sans oublier la possibilité de ne pas avoir de suite à chaque épisode et donc ne pas avoir de fin.
Il y a tout de même un point plutot positif, c'est le fait que les devs peuvent corriger les défauts de leur jeu au fur et à mesure de chaque épisode, même si on aurait préféré que le jeu n'ait pas ces défauts au début, ils peuvent sans doute en supprimer une bonne partie dans les épisodes précédents.
Je trouve dommage que de plus en plus de jeux utilisent ce système, et ça n'est pas près de s'améliorer.
Dans le fond tu peux comparer ça aux séries télé en fait. Faut attendre pour tout voir, t'es pas sûr que ça se termine...
Bah oué, foutus séries télé aussi, c’est la même chose!!
Je me suis arrêté à la saison 2 de Game of Thrones et depuis j’accumule les coffrets blu-ray de chaque saison au gré des bonnes affaires, sans les avoir encore regardé...
Nan mais plus sérieusement, la série télé c'est justement le principe de faire des épisodes distillés au cours de l'année, avec une nouvelle saison l'année suivante, etc. Mais je trouve aussi que ça n'a rien à faire dans un JV... :/ (à moins qu'on nous sortes un épisode par semaine pendant la moitié de l'année! )
Ne regardant pas de série, je n'ai pas a supporter ce phénomène d'attente dut à la sortie de contenu pendant toute l'année.
Je préfère attendre le temps qu'il faut pour avoir le contenu en seul coup.
J'ai appris à être patient surtout en ce qui concerne le jeu vidéo.
GOTY !
Ah tiens, le jeu où on crame des moutons, ce sera sans moi.