Changement d’ambiance radical pour BeautiFun Games qui après nous avoir proposé Nihilumbra, un très agréable jeu de plate-forme qui faisait la part belle à l’onirisme, se tourne vers un tout autre univers fait de météores, de pouvoirs magiques, de robots et de néons. Improbable mélange n’est-ce pas ?
Welcome to the eighties
Tout commença il y a deux mille ans lorsqu’un météore frappa la Terre, provoquant une hécatombe sans précédent. Les survivants eux, commencèrent alors à développer d’étranges facultés. C’est ainsi que la magie apparue sur Terre. Deux millénaires plus tard, nous retrouvons le monde tel que nous le connaissons… ou presque puisque les descendants des survivants de cette catastrophe possèdent eux aussi des pouvoirs magiques.
Dans Megamagic, nous incarnons deux frères, Phoban et Deimon qui sont accompagnés par une étrange créature constituée de fumée : Fum. D’après ce que nous en savons, Fum – qui nous fait furieusement penser à un slim de Dragon Quest en plus vaporeux – sera un élément crucial d’une incantation très puissante qui nécessairement, attisera les convoitises. À l’heure actuelle, c’est bien tout ce que nous pouvons dire de l’histoire qui d’après les premiers screenshots dévoilés et surtout, le trailer, sera teintée d’une touche « eighties ». Couleurs flashy, néons, synthétiseurs, la bonne époque quoi.
Synthétiseur !
Côté gameplay, nous aurons à priori un jeu faisant penser à Magicka mâtiné de Fallout voir même de Baldur’s Gate et de Diablo. Dans une vue en 3D isométrique, nous progresserons et nous combattrons en temps réel dans un monde aux couleurs vives et à l’aspect dessin animé dans lequel la faune, la flore et la robotique locale semblent s’être liguées contre nos pauvres héros. Heureusement, pour en découdre, les deux frères auront à leur disposition un large éventail de sorts, de la boule de feu au soin en passant par l’invocation de créatures alliées qui seront sous le contrôle direct du joueur.
Sans être totalement original dans son gameplay ni même dans son univers, Megamagic réussi pourtant à intriguer pour son ambiance années 80 uchronique. La musique du trailer, signée Mitch Murder, rythme à coup de synthétiseur un jeu qui a toute notre attention et dont nous suivrons le développement de très près.
Comments
Heu ça va vite me saouler la récupération de la mode années 80 et néons. :-/
C'est le style hype du moment, mais bon osef y'en a largement assez pour tout le monde je pense.