Kathy Rain : un nouvel hommage aux point’n click des années 90

Croyez-le ou non mais si nous vous parlons autant de point’n click sur IndieMag, ce n’est pas que par passion pour le genre mais simplement parce que la scène vidéoludique indépendante semble ne jurer que par le jeu d’aventure ces derniers temps. Kathy Rain donc, c’est l’histoire d’une jeune fille revenant dans sa ville natale suite au décès de son grand-père. Très vite, de nombreux mystères obligeront Kathy à mener l’enquête pour trouver le fin mot de l’histoire.

Wadjet, es-tu là ?

Au premier coup d’œil, Kathy Rain fait immédiatement penser à une production du studio/éditeur Wadjet Eye Games, ne serait-ce que pour son utilisation du moteur Adventure Game Studio et sa direction artistique très semblable. Et pourtant, il n’en est rien puisque le jeu, développé par Clifftop Games (un studio suédois), sera édité par Raw Fury.

L’histoire est celle de Kathy qui va petit à petit remonter les indices laissés par son grand-père récemment mort afin de découvrir pour quelle raison ce dernier, à la fin de sa vie, n’était plus que l’ombre de lui-même et cloué à un fauteuil roulant.

Enquête à la Twin Peaks

Kathy va se rendre très vite compte que de nombreux autres mystères gravitent autour de sa ville natale, Conwell Springs. À ce sujet, les développeurs évoquent une inspiration principale pour le scénario de Kathy Rain : Twin Peaks. En effet, de nombreux habitants de cette ville ont un secret bien caché et une atmosphère de folie semble emporter ce qui était autrefois une joyeuse et paisible petite bourgade.

Aucune date de sortie n’étant annoncée à l’heure actuelle, Kathy Rain est prévu pour sortir sur Window, Mac et Linux. Afin de nous donner le ton, les développeurs ont déjà partagé un trailer. Nous faisons ainsi connaissance avec Kathy et sa Harley Davidson, alors qu’elle est en route pour Conwell Springs sous une pluie battante. L’ambiance est au rendez-vous assurément.

• Le site officiel de Kathy Rain
• En attendant la sortie de Kathy Rain, découvrez notre test de Technobabylon