Poly Universe, un city-builder sur des petites planètes en low-poly

La conquête de l'Espace est un rêve pour de nombreuses personnes. On le retrouve d'ailleurs souvent comme thème dans divers médiums artistiques. Pouchmouse proposera de le réaliser grâce à Poly Universe, un city-builder dans une galaxie tout en low-poly et aux planètes générées procéduralement.

Le jeu reprendra les codes des classiques du genre comme Banished. Sa particularité se trouvera dans la taille des astres colonisés puisqu'elle sera très réduite. Chaque partie débutera avec une fusée remplie d'Hommes qui atterrira pour construire un nouveau foyer. En découlera alors un gameplay où il faudra survivre en gérant ses ressources et en produisant de nouvelles, en construisant des bâtiments puis en envoyant certains colons sur d'autres planètes pour qu'elles deviennent utiles à leur tour. Gérer les niveaux de bonheur, d'éducation et de natalité deviendra alors l'une des priorités et l'aventure se terminera lorsque toutes les planètes existantes auront été conquises.

Si l'accès anticipé est prévu pour une durée d'au moins un an, son développeur a publié une feuille de route dans laquelle il décrit les futures évolutions du jeu. Par exemple, le joueur aura l'occasion de construire des routes et des ponts entre les îles. Il est d'ailleurs prévu de changer le comportement des habitants qui pour l'instant ne sont pas gênés de devoir nager pour se déplacer. Les ennemis seront plus variés et posséderont des camps permanents. Les relations avec eux ne se résumeront plus qu'à de simples batailles.

Quant à la faune et la flore, elles deviendront parfois uniques en fonction des biomes et donneront des ressources rares. Des catastrophes naturelles pourront bouleverser le quotidien jusqu'ici relativement tranquille des colons également. Pour les intéressés, une version française existe. Elle se base sur une traduction automatique que Pouchmouse souhaiterait améliorer dans le futur. Poly Universe est disponible en accès anticipé au prix de 9,99€ sur Windows, Mac et Linux.

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