Alors pour la joie et la colère, c'est tout simple, n'importe quel jeu dur fait les deux: la colère due a la difficulté, puis la joie d'avoir réussit. Les meilleurs exemple pour moi c'est spelunker (nes), spelunky (les 2) et les I Wanna Be The Guy-like.

Cependant, j'ai aussi eu beaucoup de joie en jouant a clockwork cat, mais dans un style différent. Accompagné d'un peu de surprise parce que je ne m'y attendais pas du tout, mais surtout de la joie: aussi tot que je joue a ce jeu, je suis heureux, parce qu'il est sublime malgré qu'il soit si court et simple.

Pour la peur, y a deux cas distinct: sois la peur par le jeu, soit la peur autour du jeu. Par exemple, pour la peur autour du jeu, c'est surtout sur les ancien jeux: le plus typique c'est "j'ai pas sauvegardé depuis 3H et j'ai plus qu'un point de vie devant un boss". J'ai éxagérer, mais y a l'idée. Pour la peur du jeu, j'ai Clock Tower sur snes. Ce jeu m'as traumatisé, il est hyper stréssant, et même quand le scissor man est plus la, la tension reste, parce qu'il peut surgir tout le temps et que même sans lui la maison est dangereuse. Et pendant qu'on y est, Clock Tower, faites le, c'est un immanquable.

Le dégoût, sa dépend de l’expérience des gens: un jeu trop long ou trop répétitif, ou bien pas original. Les call of par exemple: j'ai fait le premier, a l'époque c'était un claque, le deuxième m'as ennuyer parce qu'il est pareil que le premier. Mais les megaman c'est pareil: j'ai adorer le 1, le deux m'as ennuyer, le trois était sympa sans plus, et les seul qui m'ont vraiment plus au final c'est ceux ou le gameplay évoluait. (je prend bien le dégoût comme l'absence de gout, ici.)

La surprise, c'est pareil, sa dépend. Portal m'as surpris pour son gameplay, Fez pour son univers, et Iji pour tout ce qu'il offre, mais le principe de la surprise, c'est qu'on sait pas ce qui la fait. C'est juste du bon et inattendu, et sa peut venir de partout et de nul part. Genre un jeu d'action avec un bon scénario, comme metal gear, ou bien un jeu de carte actif comme lost kingdom, et même des eroge au gameplay bien fichu genre eroico (sisi sa existe).

Finalement la tristesse, le plus souvent, c'est quand le jeu est fini, et tu a une petite larme parce qu'il était bon, long et agréable, et tu te dit "c'est déjà fini?". La pour le coup, c'est Fez, Atelier Marie + Elie, Chantelise, Mario Galaxy, Tobari and the night of the curious moon, Nightsky, l'Oddysée d'Abe, et surtout Iji. C'est le moment ou tu reviens a la réalité, et que tu te dit que tu verra plus les personnages, que sa s'arrete la. C'est la ou le mot fin et qu'au lieu d'etre joyeux, tu fait une croix sur l'un des moments heureux de ta vie.

Alors il y a bien des jeux, quelques un, qui font ces 6 sentiments. Pour le coup, Iji, c'est exactement sa: le jeu n'est pas simple, donc parfois on s'énérve, mais on est joyeux de l'avoir fini, puis on essaye de tout débloquer, on y joue jusqu'a pus possible et etre dégouté, et on stress devant le boss de fin en mode ultimortal, et finalement, quand on a tout, on est triste que sa soit fini si vite.

Mais la ou sa a était le pire, pour moi, c'est Rayman: a chaque fois que j'y joue, tout y est. Mais c'est le cas spécial des jeux préférer: peu importe quand j'y joue, j'aime sa et j'aime toujours autant y jouer. Sa marche avec très peu de jeux, et a force je le connais par coeur au point de faire les premiers niveaux les yeux bandés, mais sa reste toujours un jeu aussi parfait et j'aime toujours autant y jouer, et je regrette toujours amèrement quand je le fini de ne pas pouvoir continuer ce jeu magique. (Et c'est pas les suites qui me remontent le moral, c'est des bon jeux mais pas des suites...)

Donc voilà, j’espère t'avoir aider, et si je t'ai pas aider, ben au moins j'ai essayer.

Hello

Pas facile comme sujet, je vais tacher de t'aider aussi du mieux que je peux.

Commençons par citer les jeux que j'ai en tête par rapport aux émotions :

- La joie :
Il y a tout d'abord la joie d'avoir battu un ennemi, un boss. C'est une joie procuré par l'accomplissement d'un but. C'est un peu la même joie que l'on ressent lorsqu'on résout un problème, qu'on finit un travail, etc. Bref, un sentiment lié à la victoire, généralement.
La "quantité" de joie est lié directement à la difficulté de la tache : Battre une peste mojo ou battre Ganondorf, ce n'est pas vraiment le même plaisir.
Du coup, l'exemple parfait ici, pour moi, sont les jeux réputés difficile : Dark Souls, Super Meat Boy, ainsi que pas mal de vieux jeux (au hasard, Megaman, particulièrement le 1er, je trouve)

Mais la joie peut se faire aussi à la découverte d'environnement magnifique, par exemple. Pour l'occasion, je citerais Zelda Ocarina Of Time : On joue dans une petite forêt, on fait un donjon pas trop grand, tout est bien cadré, puis... On sort dans la plane d'Hyrule. Et la, je me souviens encore de mon émerveillement, tant de lieux à visiter, j'étais heureux de découvrir un aussi bon jeu. Ici, pour le coup, c'est plus notre sens de l'artistique qui est mis en avant, on est heureux parce qu'on est surpris par quelque chose de beau.

- La tristesse :
Pour moi, la tristesse d'un jeu vidéo s'effectue principalement via son histoire. La mort d'un personnage important, par exemple, surtout si celui-ci est essentiel à l'histoire.
Un des exemple les plus marquants, pour beaucoup de joueurs est, je pense, Final Fantasy VII (je ne vais pas spoiler, on ne sait jamais...), ainsi qu'éventuellement Metal Gear Solid.
La tristesse peut aussi survenir lorsqu'on a terminé un jeu qu'on appréciait. C'est à la fois un moment d'accomplissement, mais on sait également qu'on ne pourra plus revivre des moments dans cet univers. Pour le coup, je pense qu'il s'agit plus d'un facteur de "nostalgie", plus que de tristesse

- Le dégoût :
Pour le coup, il y a 2 sortes de dégoût à mes yeux : Le dégoût dans le jeu, et le dégoût du jeu.
Dans le jeu, cela s'apparente aux choses classiques qu'on retrouve dans les autres médias : Body Horror (façon David Cronemberg), actes répulsants, etc.
Je n'ai pas vraiment d'exemple pour le coup, peut-être le dernier House of The Dead.

Après, le dégoût du jeu est tout autre. Il s'agit ici d'une expérience tellement mauvaise sur un jeu qu'on en devient dégouté. Les raisons sont multiples : Jeu vraiment mauvais, perte de sauvegarde alors qu'on était bien avancé, morts à répétition.
Quelques jeux m'ont fait cet effet :
- La série des Uncharted me révulse aujourd'hui, tellement je la trouve mauvaise (histoire peu intéressante, gameplay identique durant tout le jeu, bref, je ne peux pas la voir en peinture)
- Quelques jeux online, genre Battlefield 3, ou Medal of Honor : Je suis tombé plusieurs fois sur des mauvais serveurs, avec du spawnkill, des joueurs surpuissant à cause du système d'XP, bref, j'ai ragequitté, et supprimé le jeu de dégout.

- La colère :
De mémoire, très peu de jeux m'ont mis en colère. Il s'agissait la plupart du temps d'une colère en raison d'une difficulté élevée, ou avec un mauvais gameplay, voire d'une mauvaise communauté (on retourne donc à Battelfield 3 et Medal of Honor)
Je n'ai pas d'autre souvenir de jeu m'ayant mis en colère, autrement que par de la frustration, par contre

- La peur :
Pour moi, la peur peut être exprimé de 2 façon différentes : La peur d'ambiance, et la peur "Bouh" (j'ai pas le terme exact, a part le Jump Scare :p)
La 1ere peur va installer un contexte, une histoire, une ambiance oppressante mettant mal à l'aise.
Il n'y a parfois pas matière à avoir peur, mais cela nous stess quand même.

Parmi les jeux les plus emblatiques, à ce niveau, on retrouve Silent Hill : On joue un type lambda, sans gros flingues, sans muscles, perdu dans une ville avec un brouillard qui laisse entrevoir plus que voir.
Plus récemment, il y a l'excellent Amnesia : The Dark Descent, qui personnellement, me fait encore plus flipper que Silent Hill, en raison, je pense, de la vue à la 1ere personne qui nous met directement dans l'action (contrairement à Silent hill où il s'agit de la 1ere personne)

A contrario, on a la peur "Jump Scare". Il s'agit ici de faire sursauter le joueur, en le prennant par surprise.
L'élément revenant le plus souvent pour définir cette peur se situe dans Resident Evil, lorsque les chiens traversent la fenêtre. A noter d'ailleurs que pour accentuer cette peur, les plans de caméra sont fixes : On ne sait jamais ce qu'il y a au détour d'un couloir, et on peut donc facilement être surpris.

Je pense qu'il est bon de citer Dead Space aussi, car une ambiance de peur dans l'espace, c'est assez peu courant.

- La surprise :
On retrouve assez le Jump Scare, pour le coup, puisque le principe est de nous prendre par surprise.
A côté de ça, il existe beaucoup d'oeuvres, tous médias confondus, jouant sur la surprise, ne serait-ce que par un twist scénaristique.
La surprise peut aussi se traduire par une idée surprenante. Le meilleur exemple est pour moi la série des Metal Gear Solid, où Kojima Hideo s'amuse à briser le 4eme mur pour nous surpendre (le combat de Psycho Mantis, pour ne citer que lui)
Le concept de surprise est en fait tellement vaste que presque n'importe quel jeu pourrait en contenir, que ce soit au niveau scénaristique, où au niveau du concept

Si je devais citer les jeux m'ayant le plus surpris (par l'histoire où un élément), je dirais : Bioshock, Metal Gear Solid 1, 2, 3 et 4, The Stanley Parable, Portal, Fez

Enfin, un point essentiel, je pense, à ne surtout pas oublier : La musique.
La musique est capable de retranscrire énormément d'émotion, et elle doit bien être choisie pour coller à l'ambiance.
Jouer à un Resident Evil avec en fond la Merguez Party, ça donne pas le même effet.
A ce niveau, je dirais presque que la musique supplante parfois le jeu en lui même : Il me suffit d'écouter le thème "Encounter" de MGS pour avoir presque les larmes aux yeux, alors que cela ne signifera rien pour un joueur n'ayant pas vécu la scène.

Pour le coup, il peut être bon de citer plusieurs grands acteurs de la musique de jeux vidéo : Nobuo Uematsu, Kondo Koji, Jeremy Soule, Grant Kirkhope, Junichi Masuda, etc.

Voila voila... Je pense avoir fait le tour, j'espère avoir pu t'aider

C'est vrai que la notion de dégoût n'est pas facile à cerner.
Si on parle de dégoût au sens "donne envie de vomir", tu peux citer Manhunt, Postal 2 ou Madworld, qui penchent dans le ridiculement violent.
Si tu parle de dégoût au sens "mauvaise expérience de jeu", je pense que c'est à chacun de voir, pour le coup (mais par exemple, pour beaucoup, ce serait la série des Call Of, je dirais :p)
Si tu parle de dégoût au sens "dérangeant", regarde peut-être The Unfinished Swan, par exemple.

Je te conseille aussi de regarder ce dossier de jv.com sur les jeux ayant fait polémique, ça te donnera peut-être des idées
http://www.jeuxvideo.com/dossiers/00016426/les-jeux-les-plus-polemiques-de-l-histoire.htm

Et de manière plus globale, pour générer des émotions, je dirais qu'il faut joue sur l'histoire, l'ambiance (musique, graphisme, éclairage), et le gameplay, bref jouer sur les repères du joueur.

D'ailleurs, ce serait peut-être bien de faire un questionnaire via Google Docs, pour avoir plus d'avis, non ?

Le problème, si tu cherche un jeu qui evoque le degout, c'est le sens de degout.
Comme a dit mopral, sa peut etre une mauvaise experience, ou du derangeant ou du nauseabonde, mais aussi de l'absence de gout (tout les jeux trop long, pour moi sa a était les final fantasy 7 et +), ou bien un manque d'envie d'atteindre la fin (les elder scrolls: c'est les quetes secondaires qui sont interessante, pas la premiere), et même du traumatisant (clock tower m'as fait tant flipper que je suis degouter du jeu... Mais j'était petit a l'epoque).

Mmm, pour le dégoût, j'ai eu du mal à trouver, mais finalement je suis tombé sur quelque chose qui le provoque immédiatement chez moi : araignées.:3

J'ai ce souvenir net d'une partie du deuxième Harry Potter sur PC (très bon jeu pour un jeu à licence, soit dit en passant), dans ce fichu niveau de la Forêt Interdite, où coincé à un endroit où j'étais obligé de faire face à une de ces saletés en me prenant des dégâts, ma sœur m'a fait remarquer que ce n'était qu'un jeu. J'ai eu beau retourner cette vérité dans tous les sens, pas moyen : ces saletés me mettent mal à l'aise.
Et si Skyward Sword souffre d'un gros manque d'atmosphère, j'ai vécu des moments de forte tension dès que j'avais à affronter ces horribles bestioles accrochées à un fil (et que dire du moment où elles sont au sol et avancent… geuuuuh). Une phobie misérable, ce doit être l'un des ennemis les plus faibles du jeu, mais dont je suis incapable de me débarasser.^^
(non, c'est faux, je n'ai pas peur des araignées : je les déteste, nuance ! :p)

Ce genre de sensation s'approche je pense davantage du dégoût que de la peur. Il n'y a pas d'ambiance, d'inquiétude, ne frisson… Juste une répulsion pour, dans ce cas, une phobie.
Et je me demande si ça ne peut pas être recréé "manuellement". Il y a pas mal de jeux avec des mécaniques très marquées, qui font qu'on associe rapidement un son, une image, à quelque chose de négatif. Du genre un signal d'alarme, ou un thème particulier (même si dans ces cas, on a plus exactement affaire à du stress). Faire comprendre par les expériences au joueur que tel élément amène une forte pénalité le forcera à instinctivement le percevoir comme négatif. Un peu à la façon de la tonalité d'une sonnerie de réveil qu'on entend depuis des années.

Ou bien le jeu qui possède des éléments d'aléatoire, et ce montre injuste dans bien des cas, ce qui amène le joueur à grimacer dès qu'il croise un élément dont il sait qu'il n'en tirera rien de bon.
Où les boss dans les DKCR (entre autre), auxquels je me préparais mentalement à souffrir. x) Enfin là on arrive plus dans le dégoût à cause du jeu plutôt que induit par le jeu.

Nan mais trop!!! Itooh t'as complétement raison.

Je me souviens d'un passage dans Dark Messiah of Might and Magic avec ces araignées qui tombent du plafond. J'étais sous tension je me suis battu comme un enragé pour les terrasser.

Ma femme qui m'observait m'a raconté à la fin du combat que quand les araignée sont apparues je me suis immédiatement redressé et écarté au maximum de l'écran et que j'esquivais les attaques en bougeant vraiment ma tête et mon buste.

Si ça c'est pas de l'émotion je ne sais pas ce que c'est.