Je n'imagine rien de la sorte, t'inquiète.
J'avais juste l'impression par tes justifications que tu considérais que les commentaires faits (et pas que par moi, et globalement convergents) n'étaient pas vraiment pertinents, ce que je trouvais dommage dans le sens où, si on prend le temps de pointer de façon détailler ce qui ne nous satisfait pas, en tant que lecteurs, c'est dans l'espoir de pouvoir t'aider. (et pas pour se défouler ^^)
Pour ce qui est du "je sais que" je sais pas si tu restes enfermé chez toi mais j'espère que chaque personne a déjà eu peur, et je parle pas d'un petit peu de stress mais bien de peur réelle qui se montre dure à contrôler.
Disons qu'il y a une différence entre retranscrire une peur panique incontrôlable, et rapporter des éléments dans un ordre inadapté. Quand on est sous tension, on ne contrôle pas la façon dont on va intégrer et analyser les informations sensorielles, mais elles s'imposent à nous avec une certaine logique (les stimulis les plus puissants d'abords, les ressentis les plus intenses d'abord, etc.). Les pensées, elles, peuvent être effectivement désordonnées et inadaptées, mais ce n'est pas cela que je te reprochais.
Et quand j'insiste sur le fait qu'un texte doit avoir qqchose à dire, c'était parce que tu n'avais pas rebondi sur cette remarque que je trouvais essentiel mais étais probablement noyé dans le flot (quand même un peu trop long :/) de mes palabres... Je ne voulais pas t'enfoncer gratos en sous-entendant que ton texte n'avait de toute évidence rien à dire, la chose est évidemment impossible à juger en en ayant que le début, je suis bien d'accord là-dessus!
Bon courage pour la suite!
Voilà, voilà, partie une écrite: https://drive.google.com/?tab=mo&authuser=0#folders/0ByUn8llnvD9IbVZDNFJyRW9CdnM
(c'est cool je suis pas en retard sur la date que j'ai donnée!)
Bloup, bloup, bouloubouloubouloup!
Tout est possible, tout est réalisable, c'est le jeu de la vie.
Nival > Merci pour le commentaire sur le sketch.^^ Je suis d'accord, il y a des longueurs, notamment dans la première moitié. Et encore, certains monologues du narrateur ont été raccourcis. L'un des soucis est que je ne me suis pas su cerner assez tôt l'humour que je préférais appliquer : ou bien la caricature (comme l'explication de l'histoire ou la biographie du héros), ou bien l'absurde complet (comme la biographie de Zaphulon ou la remarque sur l'alarme). Ce n'est que tard dans le montage que je me suis rendu compte que la deuxième catégorie était bien plus appréciable, là où la première ne constitue en soi qu'un gag répété plusieurs fois.
mat1er > Félicitation pour avoir tenu la dead-line ! =D
Cela dit, la dépasser un peu aurait pu être bénéfique. Le texte souffre de pas mal de fautes, quelques relectures lui aurait fait du bien. Les plus handicapantes étant les confusions er/é et les absences de "ne" dans les négations.
Pour commencer dans les points négatifs, j'ai l'impression que tu t'en es rendu compte, mais il ne se passe pas grand chose dans ce premier chapitre. Presque littéralement rien, en fait. Une fois le prologue passé, on n'a qu'une scène qui s'étend, qui ne développe pas beaucoup les personnages autre que le principal, et où il ne se passe vraiment rien.
Et le personnage principal, justement, j'ai vite ressenti pas mal d'antipathie pour lui. Il se moque des prénoms des gens, il regrette instantanément presque toutes ses actions et paroles, est jaloux, ne juge les femmes que par le degré d'attirance sexuelle qu'elles lui inspirent, et n’interagit avec personne d'autre que sa copine, dans le désir égoïste d'afficher son amour (oui, y a un peu de mes convictions féministes dans cette analyse :p). Vraiment, à plusieurs reprises ses réflexions m'ont fait tiquer. Que ce soit quand il ne prend pas au sérieux son amie (le fait qu'il réduise son choc à une creepy-pasta, ou qu'il qualifie ses discussions « d'inepties et absurdités ») ni quiconque d'autre (quand les gens discutent autours de lui, ils déblatèrent, et les infirmières savent pas faire leur travail), ou quand il veut se montrer exagérément protecteur (il se sent très impliqué dans sa mission de protéger son amour du monde hostile environnant), j'ai souvent souhaité qu'il soit remis à sa place. x) (ça fait vraiment point de vue féministe, mais c'est ce que je ressent de prime abord ^^') Ce n'est peut-être pas volontaire, mais la façon dont les réflexions du héros sont représentés le font vraiment passé pour un égocentrique qui se permet de juger tout ce qui l'entoure. (et est limite inquiétant à surveiller à fond sa petite amie)
Ce que j'ai aimé, en revanche, c'est la narration durant le prologue et le début du premier chapitre ! =D Ces changements brusques avec mises en abîmes, c'est plutôt réussi, et ça intrigue très rapidement le lecteur. Un très bon rythme. Dommage que l'on perde cette dynamique tout le reste du chapitre 1.
L'histoire est aussi prometteuse. Bon, creepy-pasta, c'est marcher sur des charbons ardents, puisque s'il ne s'agit que d'un scénario d'horreur autours d'une creepy-pasta, l'aspect épouvante ne devient lui-même que celui d'une creepy-pasta (qui suivent justement ce schéma : une légende urbaine à laquelle des personnages ne croient pas, jusqu'à ce qu'ils en soient victimes). Mais le peu de mystère construit autours attise la curiosité, et peut donner quelque chose d'intéressant. Le fait que les éléments fantastiques soient plus ou moins subtils (une larme, un mail vague) donnent des effets d'autant plus percutants !
Merci pour ton commentaire, Itooh! Et je vais donner une réponse constructive:
-Pour les fautes d'orthographes: je suis nul, mais alors nul en français. Pour le coup, j'ai fait à ce jour 6 relectures du textes (un peu perfectionniste moi...), et tu n'imagine même pas combien de fautes j'ai déjà corriger. J'avoue quand même trouver plus important de corriger les erreurs de formulations (qui sont mon fléau) que les fautes d'orthographe, parce que je préfère m'assurer que toutes les phrases soit au pire compréhensible.
-Pour le manque d'action dans le premier chapitre, j'ai vu (je l'ai même écrit en bas), mais le fait est que je comptais présenter au moins de nom les personnages dont il est question dès le début du texte (tu comprendra très vite pour quoi). D'habitudes je fait sa sur la prologue, mais la j'aurai eu du mal a les intégrer de manière subtile dans la prologue.
Ensuite, si sa t’intéresse de le savoir, le premier chapitre est en faite une façon de dérouler le tapis rouge pour la suite, j'ai hésiter longtemps a couper le chapitre un peu après, mais je préfère peaufiner ce qui est intéressant, et j'ai eu peur de surcharger le début. En plus sa va me permettre de faire un truc que j'adore: créer un parallélisme dans la construction des chapitres! (Hummm, forme de style dans la construction du texte *bave*)
-Et le personnage principale, ben si tu veux, j'ai fait une liste des personnages et de leur caractère, et juste après le nom "Peter", j'ai écrit en gros "enf**rer"... Donc ouais, c'est pas censé être un gars sympa, et j'avoue que c'est pas ultra agréable pour les lecteurs, mais l'idée c'était de créer un décalage entre ce que le personnage vois et ce que l'on veux qu'il vois (je sait pas si c'est français), et le mieux pour sa c'est de le rendre désagréable. C'est pour sa par exemple qu'il n'y a pas beaucoup de dialogue ressorti au début: on aurait aimé savoir ce que pense les autres et leurs liens, et tout sa, mais lui s'en fiche.
Après, si sa t’intéresse, pour ce qui est du machisme de ce qu'il dit, c'est pas tout a fait vrai puisqu'il ce moque de tout le monde et pas que des filles (le seul homme s'en prend plein la face dans sa description), et pour ce qui est de l'incompétence des infirmières, je dirais que j'ai une très mauvaise expériences des hôpitaux, et que si moi (qui suis gentil tout plains), je n'aime pas l'hôpital, lui qui est une saleté dois être dix fois plus critique.
-Merci pour le passage sur le premier chapitre. Quand j'était petit je passait un temps fou a raconter des histoires et, pour le peu qu'il n'y ait pas beaucoup de personnages, je restais souvent sur ce genre de rythme, avec des trucs bourré de symboles, de faux semblant, de jeux d'ambiance... J'adore raconter des histoires, et quand la narration est inhabituelle (rapide, directe ou en montagne russe), on a tendance a mieux faire passer des émotions.
Voilà, j’espère que j'ai pas spoiler dans ma réponse et qu'elle est claire, je vais quand même essayer de tenir compte du problème de rythme, et sinon ben d'ici quelques temps la suite (sa sera pas long, genre 6 chapitres donc sa devrait pas prendre trop de temps)
Bloup, bloup, bouloubouloubouloup!
Tout est possible, tout est réalisable, c'est le jeu de la vie.
Bon, ça me rassure de savoir que les défauts de Peter ne sont pas involontaires.^^ J'attends de voir comment ce caractère sera utilisé par la suite. :3
(et le terme de "parallélisme" pour la narration me plaît beaucoup, huhu)
Coucou ! Concernant le premier long commentaire de Nival973, je dirai que tu as raison et tort en même temps. Il est clair que pour certains lecteurs, le fait de se concentrer sur certains petits détails comme « la joue gauche » est quelque peu déstabilisant. Cependant, je pense qu'il y a d’autres lecteurs, comme moi, qui aiment ressentir chaque petit détail de l’histoire comme l’auteur les décrit. Ce n’est pas le fait de se préoccuper de qu’elle joue il s’agissait, mais plutôt de mettre l’emphase sur l’émotion que cela dégage. Tu es le genre de lecteur qui se met dans la peau du personnage alors que moi, ou puis-je dire, nous, on se met à la place du spectateur qui ressent les émotions d’une tierce personne. C’est exactement comme quand tu regardes un film triste : tu pleures parce que la situation est triste et non pas parce que tu te mets dans la peau de l’acteur. À bientôt !
Bonjour tout le monde!
Je profite de ce poste pour présenter mon petit projet:
Une série textuelle hebdomadaire avec un court épisode chaque mercredi (à découvrir avec un bon café ou autre)
Pourquoi ce format? Simplement pour garder un rythme régulier et peut être partager mon univers avec une petite communauté sympathique
Le Blog , provisoire, si un développeur web bénévole passe par là, qu'il me fasse signe^^
Salut, j'ai lu ton 1er chapitre avec un certain intérêt, bien que géné moi aussi par les fôtes d'orthogrhaphes quand même trop présentes (et je ne suis pourtant pas bien doué en la matière, du temps de ma scolarité jamais eu la moyenne à une "dictée"! :P). Quand tu relis, efforce toi de te demander à chaque terminaison de verbe avec la sonorité "é" s'il s'agit d'un infinitif "-er" ou d'un participe passé "-é", voir d'un imparfait "-ais" (faute que tu fais aussi, et qui est plus surprenante vu que "-ais" se prononce "è" et non "é"...) ; pour rappel il suffit de reformuler la phrase avec un verbe ayant une autre terminaison que "-er" (p.ex. "finir", ou encore "mordre" :P) pour avoir la réponse quant à la terminaison à adopter ;). Il y a aussi des "sa" pour des "ça", "ces" pour "ses",... Ou encore des formulations erronées qui font tâches ("ils en ont pas pris compte" au lieu de "ils n'en ont pas tenu compte" ou "ils ne l'ont pas pris en compte" ; au passage il manque donc aussi le "ne" de la négation...). Des erreurs de temps aussi ("Thalie était déçue. (...) celle-là n’a pas été très efficace." au lieu de: "Thalie était déçue. Celle-là n’avait pas été très efficace.")
Plus gênant, car impact le style: on trouve souvent des formulations plutôt pauvres, voir redondantes, comme par exemple l'expression "pas très efficace" qui apparait à deux reprises, pas mal de "ça" (même si orthographié le plus souvent "sa") ou de "cela", etc.
Passés ces désagréments (que tu aurais tort de prendre à la légère cependant), le récit est plutôt fluide et l'histoire se laisse suivre, mais évidemment l'interrogation qui vient de suite c'est: "est-ce-qu'il n'est pas en train, sous prétexte d'un regard amusé sur le "creepy-pasta", de nous servir un bête "slasher" tout aussi caricatural et bateau?". On voit déjà la petite tripotée de personnage, avec leurs petites tensions entre eux, servir de victimes successives comme dans la plus routinière des mécaniques du genre. On espère bien sûr qu'il en sera autrement, ce que la suite nous dira ;).
Certains effets sont en tout cas effectivement plutôt efficace, notamment la réponse par mail quasi immédiate, qui crée de suite un certain malaise. Dommage en revanche que p.ex. l'inquiétante atmosphère que peut transporter la pièce obscure éclairée uniquement par la lueur blafarde et silencieuse de l'écran d'ordinateur soit à mon sens mal rendue, en dépit de sa description.
Les pensées du narrateur sont aussi assez distrayantes même si d'une efficacité inconstante, et si le caractère antipathique déjà bien évoqué par Itooh est bien fait exprès, et bien cela est bien rendu ;).
Il serait bon aussi, pour l'immersion, de rendre les situations plus crédibles, ou du moins compréhensibles. Notamment: comment Thalie s'est-elle retrouvée à l'hôpital? (je la pensais seul dans le prologue, dans ce cas qui aurait pu appeler les secours pendant sa perte de connaissance?) Par ailleurs, il est clair qu'on hospitalise pas les gens pour un malaise de ce genre... A la limite la scène pourrait se passer dans un box d'un service d'urgence, et la sortie de l'hôpital de facto avoir lieu dans la journée.
Enfin bon, au final tout cela donne malgré tout envie de savoir la suite, preuve que les qualités (ou du moins le caractère relativement intrigant de ce qui est narré jusque là) parviennent à compenser les défauts (qu'il serait tout de même bon de corriger!).
Je n'imagine rien de la sorte, t'inquiète.
J'avais juste l'impression par tes justifications que tu considérais que les commentaires faits (et pas que par moi, et globalement convergents) n'étaient pas vraiment pertinents, ce que je trouvais dommage dans le sens où, si on prend le temps de pointer de façon détailler ce qui ne nous satisfait pas, en tant que lecteurs, c'est dans l'espoir de pouvoir t'aider. (et pas pour se défouler ^^)
Disons qu'il y a une différence entre retranscrire une peur panique incontrôlable, et rapporter des éléments dans un ordre inadapté. Quand on est sous tension, on ne contrôle pas la façon dont on va intégrer et analyser les informations sensorielles, mais elles s'imposent à nous avec une certaine logique (les stimulis les plus puissants d'abords, les ressentis les plus intenses d'abord, etc.). Les pensées, elles, peuvent être effectivement désordonnées et inadaptées, mais ce n'est pas cela que je te reprochais.
Et quand j'insiste sur le fait qu'un texte doit avoir qqchose à dire, c'était parce que tu n'avais pas rebondi sur cette remarque que je trouvais essentiel mais étais probablement noyé dans le flot (quand même un peu trop long :/) de mes palabres... Je ne voulais pas t'enfoncer gratos en sous-entendant que ton texte n'avait de toute évidence rien à dire, la chose est évidemment impossible à juger en en ayant que le début, je suis bien d'accord là-dessus!
Bon courage pour la suite!
Salut, juste pour dire, jeudi au maximum je rend ma copie (en tout cas le début).
Il y aura la mini prologue, et le premier chapitre!
Bloup, bloup, bouloubouloubouloup!
Tout est possible, tout est réalisable, c'est le jeu de la vie.
Voilà, voilà, partie une écrite: https://drive.google.com/?tab=mo&authuser=0#folders/0ByUn8llnvD9IbVZDNFJyRW9CdnM
(c'est cool je suis pas en retard sur la date que j'ai donnée!)
Bloup, bloup, bouloubouloubouloup!
Tout est possible, tout est réalisable, c'est le jeu de la vie.
Nival > Merci pour le commentaire sur le sketch.^^ Je suis d'accord, il y a des longueurs, notamment dans la première moitié. Et encore, certains monologues du narrateur ont été raccourcis. L'un des soucis est que je ne me suis pas su cerner assez tôt l'humour que je préférais appliquer : ou bien la caricature (comme l'explication de l'histoire ou la biographie du héros), ou bien l'absurde complet (comme la biographie de Zaphulon ou la remarque sur l'alarme). Ce n'est que tard dans le montage que je me suis rendu compte que la deuxième catégorie était bien plus appréciable, là où la première ne constitue en soi qu'un gag répété plusieurs fois.
mat1er > Félicitation pour avoir tenu la dead-line ! =D
Cela dit, la dépasser un peu aurait pu être bénéfique. Le texte souffre de pas mal de fautes, quelques relectures lui aurait fait du bien. Les plus handicapantes étant les confusions er/é et les absences de "ne" dans les négations.
Pour commencer dans les points négatifs, j'ai l'impression que tu t'en es rendu compte, mais il ne se passe pas grand chose dans ce premier chapitre. Presque littéralement rien, en fait. Une fois le prologue passé, on n'a qu'une scène qui s'étend, qui ne développe pas beaucoup les personnages autre que le principal, et où il ne se passe vraiment rien.
Et le personnage principal, justement, j'ai vite ressenti pas mal d'antipathie pour lui. Il se moque des prénoms des gens, il regrette instantanément presque toutes ses actions et paroles, est jaloux, ne juge les femmes que par le degré d'attirance sexuelle qu'elles lui inspirent, et n’interagit avec personne d'autre que sa copine, dans le désir égoïste d'afficher son amour (oui, y a un peu de mes convictions féministes dans cette analyse :p). Vraiment, à plusieurs reprises ses réflexions m'ont fait tiquer. Que ce soit quand il ne prend pas au sérieux son amie (le fait qu'il réduise son choc à une creepy-pasta, ou qu'il qualifie ses discussions « d'inepties et absurdités ») ni quiconque d'autre (quand les gens discutent autours de lui, ils déblatèrent, et les infirmières savent pas faire leur travail), ou quand il veut se montrer exagérément protecteur (il se sent très impliqué dans sa mission de protéger son amour du monde hostile environnant), j'ai souvent souhaité qu'il soit remis à sa place. x) (ça fait vraiment point de vue féministe, mais c'est ce que je ressent de prime abord ^^') Ce n'est peut-être pas volontaire, mais la façon dont les réflexions du héros sont représentés le font vraiment passé pour un égocentrique qui se permet de juger tout ce qui l'entoure. (et est limite inquiétant à surveiller à fond sa petite amie)
Ce que j'ai aimé, en revanche, c'est la narration durant le prologue et le début du premier chapitre ! =D Ces changements brusques avec mises en abîmes, c'est plutôt réussi, et ça intrigue très rapidement le lecteur. Un très bon rythme. Dommage que l'on perde cette dynamique tout le reste du chapitre 1.
L'histoire est aussi prometteuse. Bon, creepy-pasta, c'est marcher sur des charbons ardents, puisque s'il ne s'agit que d'un scénario d'horreur autours d'une creepy-pasta, l'aspect épouvante ne devient lui-même que celui d'une creepy-pasta (qui suivent justement ce schéma : une légende urbaine à laquelle des personnages ne croient pas, jusqu'à ce qu'ils en soient victimes). Mais le peu de mystère construit autours attise la curiosité, et peut donner quelque chose d'intéressant. Le fait que les éléments fantastiques soient plus ou moins subtils (une larme, un mail vague) donnent des effets d'autant plus percutants !
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Merci pour ton commentaire, Itooh! Et je vais donner une réponse constructive:
-Pour les fautes d'orthographes: je suis nul, mais alors nul en français. Pour le coup, j'ai fait à ce jour 6 relectures du textes (un peu perfectionniste moi...), et tu n'imagine même pas combien de fautes j'ai déjà corriger. J'avoue quand même trouver plus important de corriger les erreurs de formulations (qui sont mon fléau) que les fautes d'orthographe, parce que je préfère m'assurer que toutes les phrases soit au pire compréhensible.
-Pour le manque d'action dans le premier chapitre, j'ai vu (je l'ai même écrit en bas), mais le fait est que je comptais présenter au moins de nom les personnages dont il est question dès le début du texte (tu comprendra très vite pour quoi). D'habitudes je fait sa sur la prologue, mais la j'aurai eu du mal a les intégrer de manière subtile dans la prologue.
Ensuite, si sa t’intéresse de le savoir, le premier chapitre est en faite une façon de dérouler le tapis rouge pour la suite, j'ai hésiter longtemps a couper le chapitre un peu après, mais je préfère peaufiner ce qui est intéressant, et j'ai eu peur de surcharger le début. En plus sa va me permettre de faire un truc que j'adore: créer un parallélisme dans la construction des chapitres! (Hummm, forme de style dans la construction du texte *bave*)
-Et le personnage principale, ben si tu veux, j'ai fait une liste des personnages et de leur caractère, et juste après le nom "Peter", j'ai écrit en gros "enf**rer"... Donc ouais, c'est pas censé être un gars sympa, et j'avoue que c'est pas ultra agréable pour les lecteurs, mais l'idée c'était de créer un décalage entre ce que le personnage vois et ce que l'on veux qu'il vois (je sait pas si c'est français), et le mieux pour sa c'est de le rendre désagréable. C'est pour sa par exemple qu'il n'y a pas beaucoup de dialogue ressorti au début: on aurait aimé savoir ce que pense les autres et leurs liens, et tout sa, mais lui s'en fiche.
Après, si sa t’intéresse, pour ce qui est du machisme de ce qu'il dit, c'est pas tout a fait vrai puisqu'il ce moque de tout le monde et pas que des filles (le seul homme s'en prend plein la face dans sa description), et pour ce qui est de l'incompétence des infirmières, je dirais que j'ai une très mauvaise expériences des hôpitaux, et que si moi (qui suis gentil tout plains), je n'aime pas l'hôpital, lui qui est une saleté dois être dix fois plus critique.
-Merci pour le passage sur le premier chapitre. Quand j'était petit je passait un temps fou a raconter des histoires et, pour le peu qu'il n'y ait pas beaucoup de personnages, je restais souvent sur ce genre de rythme, avec des trucs bourré de symboles, de faux semblant, de jeux d'ambiance... J'adore raconter des histoires, et quand la narration est inhabituelle (rapide, directe ou en montagne russe), on a tendance a mieux faire passer des émotions.
Voilà, j’espère que j'ai pas spoiler dans ma réponse et qu'elle est claire, je vais quand même essayer de tenir compte du problème de rythme, et sinon ben d'ici quelques temps la suite (sa sera pas long, genre 6 chapitres donc sa devrait pas prendre trop de temps)
Bloup, bloup, bouloubouloubouloup!
Tout est possible, tout est réalisable, c'est le jeu de la vie.
Bon, ça me rassure de savoir que les défauts de Peter ne sont pas involontaires.^^ J'attends de voir comment ce caractère sera utilisé par la suite. :3
(et le terme de "parallélisme" pour la narration me plaît beaucoup, huhu)
Mes jeux sur itch.io
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Je me laisse prendre au jeu moi aussi et vous partage un petit quelque chose que je souhaiterais développer davantage.
Mon projet
Coucou ! Concernant le premier long commentaire de Nival973, je dirai que tu as raison et tort en même temps. Il est clair que pour certains lecteurs, le fait de se concentrer sur certains petits détails comme « la joue gauche » est quelque peu déstabilisant. Cependant, je pense qu'il y a d’autres lecteurs, comme moi, qui aiment ressentir chaque petit détail de l’histoire comme l’auteur les décrit. Ce n’est pas le fait de se préoccuper de qu’elle joue il s’agissait, mais plutôt de mettre l’emphase sur l’émotion que cela dégage. Tu es le genre de lecteur qui se met dans la peau du personnage alors que moi, ou puis-je dire, nous, on se met à la place du spectateur qui ressent les émotions d’une tierce personne. C’est exactement comme quand tu regardes un film triste : tu pleures parce que la situation est triste et non pas parce que tu te mets dans la peau de l’acteur. À bientôt !
Bonjour tout le monde!
Je profite de ce poste pour présenter mon petit projet:
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@Mat1er:
Salut, j'ai lu ton 1er chapitre avec un certain intérêt, bien que géné moi aussi par les fôtes d'orthogrhaphes quand même trop présentes (et je ne suis pourtant pas bien doué en la matière, du temps de ma scolarité jamais eu la moyenne à une "dictée"! :P). Quand tu relis, efforce toi de te demander à chaque terminaison de verbe avec la sonorité "é" s'il s'agit d'un infinitif "-er" ou d'un participe passé "-é", voir d'un imparfait "-ais" (faute que tu fais aussi, et qui est plus surprenante vu que "-ais" se prononce "è" et non "é"...) ; pour rappel il suffit de reformuler la phrase avec un verbe ayant une autre terminaison que "-er" (p.ex. "finir", ou encore "mordre" :P) pour avoir la réponse quant à la terminaison à adopter ;). Il y a aussi des "sa" pour des "ça", "ces" pour "ses",... Ou encore des formulations erronées qui font tâches ("ils en ont pas pris compte" au lieu de "ils n'en ont pas tenu compte" ou "ils ne l'ont pas pris en compte" ; au passage il manque donc aussi le "ne" de la négation...). Des erreurs de temps aussi ("Thalie était déçue. (...) celle-là n’a pas été très efficace." au lieu de: "Thalie était déçue. Celle-là n’avait pas été très efficace.")
Plus gênant, car impact le style: on trouve souvent des formulations plutôt pauvres, voir redondantes, comme par exemple l'expression "pas très efficace" qui apparait à deux reprises, pas mal de "ça" (même si orthographié le plus souvent "sa") ou de "cela", etc.
Passés ces désagréments (que tu aurais tort de prendre à la légère cependant), le récit est plutôt fluide et l'histoire se laisse suivre, mais évidemment l'interrogation qui vient de suite c'est: "est-ce-qu'il n'est pas en train, sous prétexte d'un regard amusé sur le "creepy-pasta", de nous servir un bête "slasher" tout aussi caricatural et bateau?". On voit déjà la petite tripotée de personnage, avec leurs petites tensions entre eux, servir de victimes successives comme dans la plus routinière des mécaniques du genre. On espère bien sûr qu'il en sera autrement, ce que la suite nous dira ;).
Certains effets sont en tout cas effectivement plutôt efficace, notamment la réponse par mail quasi immédiate, qui crée de suite un certain malaise. Dommage en revanche que p.ex. l'inquiétante atmosphère que peut transporter la pièce obscure éclairée uniquement par la lueur blafarde et silencieuse de l'écran d'ordinateur soit à mon sens mal rendue, en dépit de sa description.
Les pensées du narrateur sont aussi assez distrayantes même si d'une efficacité inconstante, et si le caractère antipathique déjà bien évoqué par Itooh est bien fait exprès, et bien cela est bien rendu ;).
Il serait bon aussi, pour l'immersion, de rendre les situations plus crédibles, ou du moins compréhensibles. Notamment: comment Thalie s'est-elle retrouvée à l'hôpital? (je la pensais seul dans le prologue, dans ce cas qui aurait pu appeler les secours pendant sa perte de connaissance?) Par ailleurs, il est clair qu'on hospitalise pas les gens pour un malaise de ce genre... A la limite la scène pourrait se passer dans un box d'un service d'urgence, et la sortie de l'hôpital de facto avoir lieu dans la journée.
Enfin bon, au final tout cela donne malgré tout envie de savoir la suite, preuve que les qualités (ou du moins le caractère relativement intrigant de ce qui est narré jusque là) parviennent à compenser les défauts (qu'il serait tout de même bon de corriger!).
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