Article écrit par une réactionnaire obtue qui dénonce des media qu'elle ne comprend pas et ne veut pas comprendre.
Ce qui me fait mal, c'est que la personne qui a écrit ce torchon possède un doctorat en économie, a travaillé dans un laboratoire de sciences sociales et produit aujourd'hui des pavés sans aucune preuve, aucune référence, uniquement pour faire du sensationnalisme. Elle pense probablement que son parcours l'autorise à lancer de grandes idées fondées sur rien dans de gros journaux généralistes, en lançant des appels à la censure tout en s'associant et en se mettant au niveau de grands auteurs classiques dont Voltaire, qui a lui même subit la censure en son temps (oui Itooh, la fin est magique, j'ai relu le dernier paragraphe plusieurs fois. Il est tellement fabuleux qu'il devrait être étudié en école de journalisme).
Lamentable.
Peut-être devrait-elle retourner à l'école, je lui ré-apprendrai à rédiger un rapport. Avec grand plasir.
"Voler est d'une simplicité biblique, si tu ne sais pas comment t'y prendre. C'est le truc important : ne pas être du tout sûr de savoir comment on s'y prend"
Comme quoi l'obtention de diplôme ne requiert pas nécessairement d'intelligence.
Ce qui me gêne le plus c'est l'absence totale d'explication profondes. Des conséquences sans causes, si ce n'est le "tomber dans le piège", si pratique et facile.
Comme si la société n'avait pas évolué comparé à un "bon vieux temps" implicitement évoqué, et qu'il n' y a pas d'autres raisons qu'un laisser-aller générationnel, celui des parents surtout. Ou comment occulter toute responsabilité des politiques sociales et rajouter une culpabilité sur les parents des cas à réels problèmes. D'une subtile stupidité.
En revanche, je ne suis pas tout à fait d'accord sur le fait de flageller uniquement une pauvre pseudo-journaliste, après tout, elle et son torchon sont validés par son redac-chef. Cette personne qu'on appelle un "responsable". La ligne éditoriale du journal ne dépendant pas d'une unique branle-plume, mais aussi d'une équipe de "supérieurs". Qui sont reconnus pour allègrement afficher leur amalgame entre objectivité et orientations politiques. Des orientations qui elles mêmes dépendent plus d'observations tronquées de la réalité plutôt que d'analyses poussées.
Bref, je ne crois pas qu'un simple retour à l'école rendra "le soldat" moins idiot, le réel danger venant surtout de ceux, au dessus, qui organisent l'idiotie.
Article écrit par une réactionnaire obtue qui dénonce des media qu'elle ne comprend pas et ne veut pas comprendre.
Ce qui me fait mal, c'est que la personne qui a écrit ce torchon possède un doctorat en économie, a travaillé dans un laboratoire de sciences sociales et produit aujourd'hui des pavés sans aucune preuve, aucune référence, uniquement pour faire du sensationnalisme. Elle pense probablement que son parcours l'autorise à lancer de grandes idées fondées sur rien dans de gros journaux généralistes, en lançant des appels à la censure tout en s'associant et en se mettant au niveau de grands auteurs classiques dont Voltaire, qui a lui même subit la censure en son temps (oui Itooh, la fin est magique, j'ai relu le dernier paragraphe plusieurs fois. Il est tellement fabuleux qu'il devrait être étudié en école de journalisme).
Lamentable.
Peut-être devrait-elle retourner à l'école, je lui ré-apprendrai à rédiger un rapport. Avec grand plasir.
http://khouridagher.afrikblog.com/archives/2010/03/22/2222781.html
"Voler est d'une simplicité biblique, si tu ne sais pas comment t'y prendre. C'est le truc important : ne pas être du tout sûr de savoir comment on s'y prend"
Comme quoi l'obtention de diplôme ne requiert pas nécessairement d'intelligence.
Ce qui me gêne le plus c'est l'absence totale d'explication profondes. Des conséquences sans causes, si ce n'est le "tomber dans le piège", si pratique et facile.
Comme si la société n'avait pas évolué comparé à un "bon vieux temps" implicitement évoqué, et qu'il n' y a pas d'autres raisons qu'un laisser-aller générationnel, celui des parents surtout. Ou comment occulter toute responsabilité des politiques sociales et rajouter une culpabilité sur les parents des cas à réels problèmes. D'une subtile stupidité.
En revanche, je ne suis pas tout à fait d'accord sur le fait de flageller uniquement une pauvre pseudo-journaliste, après tout, elle et son torchon sont validés par son redac-chef. Cette personne qu'on appelle un "responsable". La ligne éditoriale du journal ne dépendant pas d'une unique branle-plume, mais aussi d'une équipe de "supérieurs". Qui sont reconnus pour allègrement afficher leur amalgame entre objectivité et orientations politiques. Des orientations qui elles mêmes dépendent plus d'observations tronquées de la réalité plutôt que d'analyses poussées.
Bref, je ne crois pas qu'un simple retour à l'école rendra "le soldat" moins idiot, le réel danger venant surtout de ceux, au dessus, qui organisent l'idiotie.
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