Je suis ravi de voir des personnes ayant réagi sur tout ce qui compose un jeu, j'ai commencé moi même à m'arracher les cheveux quand j'ai commencé à lire les premiers posts. Non pas par mépris de propos, on est bien libre de penser ce qu'on veut, mais bien parce que je pense sincèrement que c'est appauvrir un plateformer (et le jeu vidéo en général) que de dire que ce qui fait la singularité d'un jeu repose juste sur le gamemplay, son level design. (et éventuellement son enjeu)
Le jeu de plateforme est je pense un de mes, si ce n'est, mon style de jeu préféré. Il l'est en parti parce que c'est un style que je trouve extrêmement large. C'est pourquoi, je pense que oui, le jeu de plateforme a tout à fait sa place encore à l'heure actuelle. Parce que ce que je trouve dingue de sous-estimer, c'est la puissance de la musique, de son scénario, de sa patte artistique, d'éventuellement de sa morale, son dénouement...
Par exemple, Super Meat Boy, un des emblèmes de la plateforme et du mouvement du jeu indépendant. Je lis "Super Meat Boy, c'est la difficulté qui a fait son succès, autant que son level-design et son rythme soutenu", et je me sens obligé de réagir. C'est idiot à lire mais, ce qui fait que SMB est unique, c'est qu'il est unique ! Meat boy est un personnage sans peau, il est fragile et peut mourir très facilement, par simple contact avec le sel par exemple, il se fixe de sauver Bandage Girl kidnappé par Dr. Fetus, il veut la sauver parce qu'il l'aime, et parce qu'elle représente une entité qui le complète, dont il a besoin. Ce jeu est une métaphore de la vision qu'Edmund Mcmillen a sur sa vie, à sa vulnérabilité s'il n'avait pas la personne qui partage sa vie. Tous ses jeux sont de grandes représentations de sa vie. SMB, c'est aussi beaucoup d'humour, des références, de la nostalgie assumé, une musique puissante, etc...
Le jeu de plateforme, c'est vraiment large, et même si dans le jeu indépendant se dit parfois saturé par le style du plateformer/puzzle/reflexion, on n'entend peu de fois que les jeux sont des clones, que ça soit sur le fond, autant que sur la forme. (Teslagrad, Limbo, Fez, Ethan, Swapper, Braid, etc...) Et si le plateformer saura se renouveler selon moi, c'est aussi par son univers dans tout ce qu'il comporte, pour ne pas dire avant tout.
J'avoue m'etre emporter dans mon premier post. En fait, je pense que si j'accorde tant d'importance au gameplay, c'est qu'un jeu aux commandes legerement complexes me perd vite (ce qui fait que j'ai un mal fout a jouer a aquaria, par exemple). Il m'en faut tres peu pour me perdre et ne pas aimer un jeu a cause de sa.
Cependant, hier, j'ai jouer (grace a at0) a freedom fall, et je me suis rendu compte que ce que j'ai le plus apprécier dans le jeu, c'est son histoire ecrite sur les mur. Sans sa le jeu serait moyen, avec il est cool. Mais en y repensant, c'est ce qui fait que rayman 1 est mon jeu preferer: l'analogie entre l'histoire et la science phy, l'ambiance, les musique, les graphismes, et tout sa avec un jeu facile a prendre en main parce que tres progressif.
Enfin après, a titre personnel, quand le gameplay d'un jeu me va, sa suffit souvent a me faire faire le jeu en entier, mais c'est probablement parce que beaucoup trop de jeux me semble injouable. Je sort de la plateforme, mais les avernum, j'ai toujours voulut les faire, j'ai jamais reussit a y jouer...
Surement pour sa que le gameplay me semble primordial...
Donc voilà, mea culpa, j'ai dit une belle idiotie desoler
Bloup, bloup, bouloubouloubouloup!
Tout est possible, tout est réalisable, c'est le jeu de la vie.
Je suis ravi de voir des personnes ayant réagi sur tout ce qui compose un jeu, j'ai commencé moi même à m'arracher les cheveux quand j'ai commencé à lire les premiers posts. Non pas par mépris de propos, on est bien libre de penser ce qu'on veut, mais bien parce que je pense sincèrement que c'est appauvrir un plateformer (et le jeu vidéo en général) que de dire que ce qui fait la singularité d'un jeu repose juste sur le gamemplay, son level design. (et éventuellement son enjeu)
Le jeu de plateforme est je pense un de mes, si ce n'est, mon style de jeu préféré. Il l'est en parti parce que c'est un style que je trouve extrêmement large. C'est pourquoi, je pense que oui, le jeu de plateforme a tout à fait sa place encore à l'heure actuelle. Parce que ce que je trouve dingue de sous-estimer, c'est la puissance de la musique, de son scénario, de sa patte artistique, d'éventuellement de sa morale, son dénouement...
Par exemple, Super Meat Boy, un des emblèmes de la plateforme et du mouvement du jeu indépendant. Je lis "Super Meat Boy, c'est la difficulté qui a fait son succès, autant que son level-design et son rythme soutenu", et je me sens obligé de réagir. C'est idiot à lire mais, ce qui fait que SMB est unique, c'est qu'il est unique ! Meat boy est un personnage sans peau, il est fragile et peut mourir très facilement, par simple contact avec le sel par exemple, il se fixe de sauver Bandage Girl kidnappé par Dr. Fetus, il veut la sauver parce qu'il l'aime, et parce qu'elle représente une entité qui le complète, dont il a besoin. Ce jeu est une métaphore de la vision qu'Edmund Mcmillen a sur sa vie, à sa vulnérabilité s'il n'avait pas la personne qui partage sa vie. Tous ses jeux sont de grandes représentations de sa vie. SMB, c'est aussi beaucoup d'humour, des références, de la nostalgie assumé, une musique puissante, etc...
Le jeu de plateforme, c'est vraiment large, et même si dans le jeu indépendant se dit parfois saturé par le style du plateformer/puzzle/reflexion, on n'entend peu de fois que les jeux sont des clones, que ça soit sur le fond, autant que sur la forme. (Teslagrad, Limbo, Fez, Ethan, Swapper, Braid, etc...) Et si le plateformer saura se renouveler selon moi, c'est aussi par son univers dans tout ce qu'il comporte, pour ne pas dire avant tout.
J'avoue m'etre emporter dans mon premier post. En fait, je pense que si j'accorde tant d'importance au gameplay, c'est qu'un jeu aux commandes legerement complexes me perd vite (ce qui fait que j'ai un mal fout a jouer a aquaria, par exemple). Il m'en faut tres peu pour me perdre et ne pas aimer un jeu a cause de sa.
Cependant, hier, j'ai jouer (grace a at0) a freedom fall, et je me suis rendu compte que ce que j'ai le plus apprécier dans le jeu, c'est son histoire ecrite sur les mur. Sans sa le jeu serait moyen, avec il est cool. Mais en y repensant, c'est ce qui fait que rayman 1 est mon jeu preferer: l'analogie entre l'histoire et la science phy, l'ambiance, les musique, les graphismes, et tout sa avec un jeu facile a prendre en main parce que tres progressif.
Enfin après, a titre personnel, quand le gameplay d'un jeu me va, sa suffit souvent a me faire faire le jeu en entier, mais c'est probablement parce que beaucoup trop de jeux me semble injouable. Je sort de la plateforme, mais les avernum, j'ai toujours voulut les faire, j'ai jamais reussit a y jouer...
Surement pour sa que le gameplay me semble primordial...
Donc voilà, mea culpa, j'ai dit une belle idiotie desoler
Bloup, bloup, bouloubouloubouloup!
Tout est possible, tout est réalisable, c'est le jeu de la vie.
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